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Nouveaux panneaux solaires

Le Japon s’inspire du tournesol

Des panneaux photovoltaïques qui suivent le soleil à la manière d’un tournesol. C’est l’idée, simple mais originale, présentée, hier, par la société japonaise Smart Solar International. Nécessitant moins de silicium pour leur fabrication, ces panneaux, munis de languettes-miroirs mobiles, pourront produire deux fois plus d’électricité que la normale ainsi que de la chaleur. Destinés aux bâtiments commerciaux et industriels, ces panneaux seront commercialisés en octobre. L’entreprise espère également aider ainsi les zones sinistrées par le tsunami au Japon.
source : http://www.letelegramme.com

Eoliennes

Il faut innover afin de  sortir complétement  du nucléaire le plus rapidement possible. Tout le monde doit s’y mettre, déjà pour l’économie d’énergie. Les états doivent créer des labos de recherche(s)……Un exemple les autoroutes génèrent toujours des courants (d’air). C’est possible de récolter l’énergie sur les côtés, raz le sol ou même en dessus comme le propose  un étudiant de l’université de l’Arizona.

Source :  archinect.com

Du cannabis pour décontaminer les sols?

Planter du cannabis pour décontaminer les sols? La solution, s’appelle la phytoremédiation, fait appel à des plantes, dont, par exemple, le cannabis. Elle a  été étudiée par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA).

Roland Desbordes, président de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), en explique le principe: « L’idée, c’est d’utiliser des plantes qui fixeraient la radioactivité et l’amèneraient dans la tige. En coupant les tiges, vous extrairiez la radioactivité du sol. » Il faudrait ensuite se débarrasser de cette récolte polluée, éventuellement en l’incinérant. Mais les cendres constitueraient autant de déchets radioactifs. En outre, les résultats ne sont pas nécessairement au rendez-vous: « Des gens qui ont voulu faire des expériences, par exemple sur des salades, nous ont sollicité. On a mesuré les taux de radioactivité dans le sol, puis dans les plantes pour voir quel est le transfert entre les deux. Au final, c’est très, très décevant », explique-t-il.