La nouvelle norme IEEE 802.22, utilise des bandes de fréquences d’ex. signaux de télévision, se sont les industriels qui ont eu l’idée d’utiliser ces fréquences et l’IEEE a donné son agrément à la standardisation. . Le nouveau système utilise des bandes Very High Frequency (54 MHz) et Ultra High Frequency (862 MHz presque identiques à celles des plages de la bande 800 MHz de la téléphonie mobile) pour permettre à l’Internet haut débit d’atteindre jusqu’à 22 Mbps avec des zones de portée pouvant aller jusqu’à 100 km autour de l’antenne WiFi. La fréquence artificielle micro-ondes de 862 MHz avec une longueur d’onde de plus de 33 cm permet une faible atténuation lors de son importante propagation, donc un impact radiatif environnemental maximum, notamment une très forte pénétration tissulaire du vivant. . Pour ne pas compliquer et rendre compréhensible au profane, nous n’aborderons pas la modulation de l’onde porteuse en ELF (Extremely Low Frequency) qui est pourtant cruciale et qui interfère notamment dans les échanges métaboliques sur le flux des ions calcium dans le cerveau.
Cette nouvelle source d’immixtion en voies montantes et descendantes est donc une nouvelle pollution environnementale qui va générer de nouveaux effets biologiques sur l’humain, la faune, la flore et la climatologie et amplifier les risques sanitaires, notamment de cancers. . Effets des CEM artificiels micro-ondes sur la santé DataBase et Syndrome des Micro-Ondes.
Comme habitude, il n’y a pas eu en amont d’étude scientifique d’impact biologiques et sanitaires, le principal souci des ingénieurs de l’IEEE de cette nouvelle mise sur le marché a été la non interférence des ondes radio dans le spectre, mais certainement pas le facteur du risque pour la santé publique puisque les normes d’irradiation sont respectées.
En conséquence, les humains servent encore de cobayes, cela ne demande pour les industriels aucun investissement en étude, pire les autorités sanitaires sont écartées et s’il y a toxicité (cumulative) il sera ultérieurement très difficile, voire impossible, d’en apporter la preuve scientifique.